Ocres du Luberon

Définition

Depuis 1994, ôkhra transmet les savoir-faire de l’ocre et des couleurs. En partenariat avec Edisud, nous avons créé une collection d’ouvrages pour recueillir ce patrimoine vivant et le transmettre avant qu’il ne disparaisse. Ainsi, l’écomusée de l’ocre sauvegarde ce patrimoine industriel et artisanal pour le transmettre aux générations futures. Nerte Dautier avait rédigé la première version de l’ouvrage « Ocres du Luberon », commandée par le Parc naturel régional du Luberon. Sophie  Leduc, salariée d’ôkha a rédigé la seconde version.

Contenu

Des falaises aux couleurs flamboyantes que les visiteurs du monde visitent et photographient, les ocres du Luberon s’exposent. Classé par le Ministère de l’Environnement, le massif ocrier du Vaucluse,  est l’oeuvre d’une double action. D’une part, c’est le fruit du travail de la nature qui a façonné peu à peu la terre jusqu’à lui donner des couleurs jaunes, orangées et rouges. D’autre part, c’est le fruit de l’intervention  de l’homme qui, pendant près d’un siècle, a exploité ce minerai de manière industrielle.

Catherine Gardone, photographe, arpente depuis 35 ans les sentiers de l’ocre. Elle immortalise les comportement instinctifs des visiteurs qui retrouvent avec l’ocre, des gestes primitifs.

Sophie Leduc, nous emmène ici à la découverte du plus grand massif ocrier d’Europe, celui du Luberon. Ainsi, à travers une remontée du temps qui consiste à comprendre et faire comprendre le passé d’après le présent, l’invisible d’après le visible…